Mes rituels ayurvédiques du soir,
c'est ce temps de détente, de dépose, de ralentissement qui prépare à l'endormissement.
C'est un temps pour et avec soi ; c'est ce moment où le silence de la nuit éclair les non-dits
accueillir ce qui se présente et remonte, et s'offrir de s'en libérer en le couchant sur papier, comme pour remettre à plus grand que Soi la somme de toutes ses espérances, de tous ses désarrois. Il n'est rien chèr.e ami.e qui ne résiste à ça !
C'est ce moment où le corps dans l'immobilisme exprime ce qui (s')y est inscrit
ses bienfaits sont nombreux. Les rayons infrarouges pénètrent dans l'épiderme sans chauffer la peau, provoquant une sensation de
chaleur intense, qui est absorbée par tout le corps. Ils participent, entre autres, au renforcement du
système immunitaire, à la purification de l'organisme, à la détente des douleurs musculaires.
tout naturellement et en conscience, je me dépose en moi-même, le corps volontairement dans l'immobilisme le plus totale. Allongé sur le dos, je m'accompagne dans ce relâchement progressif avec la respiration. Je peux, par exemple, décider de décompter de 5 à 1 et induire avec cette descente la décontraction qu'elle suggère.. "toujours plus profondément relaxé, relâché, à mesure que je suis respiré" dans un ne rien faire, un laisser être, naturel, qui s'approfondit avec le décompte. Le corps s'alourdit à mesure qu'il se détend ; j'en profite pour laisser mourir, laisser partir tout déséquilibre, ce qui est désiré.